En France, la baisse de la production nationale totale (PIB) est évaluée à 15% au semestre suivant. L’économie devrait alors bondir de 7,5% en 2021.
L’économie française a été fortement affectée par le coronavirus.
La pandémie de coronavirus a eu des ramifications négatives pour l’économie mondiale. La France n’est pas sauvée. Comme l’indique un indicateur distribué mardi par la Banque de France, l’économie nationale devrait plonger d’environ 10% cette année, malgré une reprise « lente » en action dès la deuxième par rapport au dernier trimestre.
L’association estime que le PIB ne reviendra pas à son niveau d’avant-urgence avant 2022.
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Après le « solide étourdissement » induit par la réglementation, avec notamment une baisse de la production nationale totale (PIB) évaluée à 15% au trimestre suivant, l’économie devrait rebondir de 7% en 2021, à ce moment là encore augmenter de 4% en 2022, prédit la banque nationale française. « Ce solide rebond clair ne permettrait pas de revenir au degré d’évolution vers la fin de 2019 qui précède la mi-2022 », a estimé la Banque de France, quoi qu’il en soit. Cette situation dépend d’un cours implacable mais contrôlé de Covid-19 et d’une économie qui s’adapte aux exigences de bien-être.
Comme indiqué par la banque nationale, ses estimations restent sujettes à de nombreuses vulnérabilités, et le « échange » entre les fonds de réserve et l’utilisation sera « fondamental pour le rythme de la récupération ». Il est « probable que l’ascension normale du chômage et le contexte mondial de grande vulnérabilité continueront de peser sur la conduite des achats », a-t-elle déclaré. Il en ressort que le taux des fonds de placement familial dépassera 22% cette année et que l’utilisation diminuera de 9,3%. Avec des bords affaiblis et un mouvement plus lent, les organisations réduiraient leurs spéculations de 23,3%.
Ces défis « entraîneront une baisse considérable des affaires », mais de façon quelque peu différée, le législateur réduisant le gigantesque complot incomplet de chômage mis en place en mars. Dans ce sens, le taux de chômage augmenterait à plus de 10% vers la fin de 2020, et passerait à un sommet supérieur à 11,5% mi-2021, un niveau « au-dessus des repères enregistrés », prolonge la Banque de France. De plus, il faudrait attendre jusqu’en 2022 pour le voir revenir à 9,7%.
D’une manière générale, si dans l’ensemble le salaire de l’unité familiale va baisser à cause de ces difficultés financières, ce sont l’Etat et les organisations ouvertes qui feront les frais de l’étourdissement de l’urgence, souligne la BoF. En ce qui concerne le niveau de valeur, il prévoit un poids décroissant, avec un gonflement qui pourrait même devenir négatif vers la fin de 2020, principalement en raison des coûts de vitalité, à ce moment-là rester en dessous de 1% jusqu’à la fin de 2022.
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